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Motion sur la fermeture de Pimkie Poitiers CV

Les membres du CSE sont aujourd’hui consultés sur le projet de fermeture du magasin de Poitiers Beaulieu.

Lors du dernier CSE, les membres ont mandatés deux élues qui se sont rendus dans le magasin le 16 mars  2022 afin de rencontrés les salariées.

Ce magasin n’a pas d’encadrement, il est composé de 3 vendeuses.

Ces dernières ont très mal vécu l’annonce de la fermeture de leur magasin. L’équipe ne pensait pas du tout qu’il pouvait fermer. Elles ont été convoquées une par une pour leur annoncer la fermeture et leur demander leur souhait à venir.

L’ADR n’a pas vraiment fait preuve d’empathie vis-à-vis de cette équipe.

1 vendeuse à 28H00 n’a pas attendu et à entamer une formation certifiante  en marketing digital avec ses heures de CPF. Elle a  pu financer 560€ sur un coup total de 1500. Elle demande à la direction la prise en  charge de la différence. Elle ne veut pas aller sur Poitiers CV et demande à partir en mai pour réaliser un  stage dans le cadre de  sa formation.

La 2° vendeuse à 28H00 est tout de suite partie en recherche d’emploi et demande à sortir des effectifs au 31 mars.

La 3° vendeuse 30H00, très attachée à l’entreprise a postulé au mégastore pour un poste de vendeuse référente à 35H00, d‘autant qu’elle a déjà fait des missions d’intérim chez Jules. Elle demande l’appui de la direction pour  sa candidature. Dans le cas contraire, elle acceptera sa mutation sur Poitiers CV.

Une vendeuse en CDD ATA complète l’équipe. Face à la situation, elle accepte le renouvellement de son contrat mais demande à pouvoir le rompre sans délai si elle trouve un emploi en CDI par ailleurs.

L’équipe réclame le rétro planning de fermeture

Le CSE constate que les informations et accompagnement des ADR diffèrent d’une région à l’autre et déplore encore une fois la fermeture de tous ces magasins.

Les membres du CSE  partage ce désarroi et demande à la direction de reconsidérer la situation.

Motion sur la fermeture de Pimkie Lyon Victor Hugo

Les membres du CSE sont aujourd’hui consultés sur le projet de fermeture du magasin de Lyon Victor Hugo

Lors du dernier CSE, les membres ont mandatés deux élues qui se sont rendus dans le magasin le 10 mars  2022 afin de rencontrés les salariées.

L’équipe a reçu l’annonce de la fermeture du magasin avec consternation. Elle a cependant apprécié la visite des 2 membres du CSE pour cet accompagnement  et les réponses à leurs questions.

Leurs demandent sont encore en attente de réponse de la part de la direction, à savoir :

L’adjointe a fait le vœu d’affection sur Lyon République, à défaut Lyon Part Dieu, sinon Lyon Saint Génis.

Une vendeuse à 28H00 souhaite quitter l’entreprise sous un licenciement pour cause réelle et sérieuse.

La 2° vendeuse, en congés maternité début juin souhaite être affectée sur Villefranche en contrat en alternance, celle-ci souhaitant reprendre une formation, à défaut Lyon République ou La Part Dieu

La responsable quant à elle part à la retraite et souhaite solder ses congés avant son départ, soit un départ mi-juin.

L’équipe du magasin déplore la fermeture de son  magasin fin juin.

L’équipe réclame le rétro planning de fermeture.

Le magasin ne sera pas inclus dans la restructuration de l’entreprise et ne pourra pas bénéficier des éventuelles mesures d’accompagnement mises en place, en l’occurrence le reclassement et la formation.

Les membres du CSE  partage ce sentiment et demande à la direction de reconsidérer la situation.

Le nouveau règlement intérieur de Pimkie

Le CSE a été consulté sur le projet de nouveau règlement intérieur et de charte relative à la prévention et à la lutte contre le harcèlement au sein de l’U.E.S Pimkie.

Malgré que certains points relevés par le CSE aient été pris en compte, il reste des aspects dans le règlement intérieur qui peuvent porter à confusion et entrainé un risque de sanction pour les salariés.

Comment la direction s’assure-elle que l’ensemble des salariés aient connaissance des nouvelles règles mises en place, a postériori de ce nouveau règlement intérieur. Pour le CSE une simple note d’information ne suffit pas, il serait nécessaire d’annexer au règlement intérieur ou de créer une icône sur l’intranet rappelant l’ensemble des règles applicables dans l’entreprise et le risque de sanction y afférents.

La direction indique qu’elle pourra avoir recourt à un test de dépistage, d’alcool et de drogue, dans le cas où elle constate un risque pour la santé du salarié. Au-delà de ça, le CSE estime que ce type de test soit fait par une personne assermentée par la loi. L’ensemble des magasins et le siège seront-t-ils dotés de ce type de dispositif.

Il est stipulé que l’ensemble des salariés doivent connaître les consignes d’utilisation des extincteurs, mais encore faut-il qu’ils soient tous et toutes formés.

Concernant le pointage sur le siège, aujourd’hui les salariés cadres PPP en forfait jour, ne pointent pas suite à une décision de la direction. Pourtant le règlement intérieur fait référence à l’accord temps de travail qui lui indique l’obligation de se pointer une fois par jour. Dans l’état actuel des choses, les salariés PPP pourraient se voir sanctionnés pour non pointage.

Pareil, le pointage en magasin est difficilement exact au moment précis, la caisse pouvant ne pas être disponible et de ce fait les salariés peuvent ne pas pouvoir se pointer tout de suite et oublier ensuite. Malheureusement, si le pointage ne correspond pas au planning, il y a risque de sanction, qui de fait au départ peut ne pas être de la faute du salarié.

Idem pour le pointage du soir, qui doit se faire après la fermeture de la caisse et par le salarié lui-même, cela n’est pas forcément faisable, si le WIFI ne fonctionne pas.

Les membres du CSE s’interrogent sur la finalité et les risques de sanctions pour les salariés de ce règlement intérieur.

Concernant la charte relative à la prévention et à la lutte contre le harcèlement, celle-ci relève seulement du code du travail, nous n’avons pas de remarques.